Autant vous dire que pour cette recette, vous ne devrez vous fier qu’à mon avis ! À la maison, je suis la seule à apprécier les endives… Pour mon mari, c’est « même pas en rêve » : lorsque je fais des endives au jambon, il mange des roulés de riz au jambon… Pour mes enfants, c’est « même pas sous la torture », et pourtant j’ai essayé (non, je rigole !) Par contre, les endives à l’eau, très peu pour moi ! Il faut qu’elles soient caramélisées comme dans mes cannelloni ou gratinées comme ici.
Après avoir cédé à la mode avec mon premier One pan pasta tutta verde, je continue à décliner cette idée que je trouve formidable avec cette version aux accents du Sud en plein cœur de l’hiver : des petits légumes, de la mozzarella et du jambon fumé dans un plat rapide et facile à réaliser aux saveurs méditerranéennes !
Je suis une grande fan de gnocchi, ce n’est plus un mystère… J’ai testé les gnocchi frais, les gnocchi congelés, de multiples accompagnement (saveurs basques, gorgonzola/poires…), alors il fallait bien que je me renouvelle un peu ! Quand j’ai vu qu’on pouvait réaliser des gnocchi de potimarron, ça a tout de suite fait tilt ! En plus, je n’avais jamais goûté ce type de courge, alors je n’ai pas longtemps hésité avant de me précipiter en cuisine… Et une fois de plus, les gnocchi ont fait l’unanimité !
Je poursuis mes tests de pâtes avec mon nouvel accessoire de Mister KA, le kit emporte-pièces pour pâtes fraîches, et après les rigatoni et les gros macaroni, voici les petits macaroni ! Bon, ils sont plutôt à mi-chemin entre les penne et les macaroni avec leur look rayé… on a essayé de leur trouver un nom hybride mais sans succès, alors on reste sagement sur ce qui est marqué sur la filière !! Accompagnés d’une sauce crémeuse au saumon fumé et aux tomates séchées, un régal !
Dehors, c’est l’automne, on ne peut pas le nier… les températures baissent, on ressort les vestes, voir les parapluies, alors pour garder un petit bout d’été dans l’assiette, j’ai eu envie de réaliser ce gratin équilibré, gourmand et savoureux, tout ce que j’aime ! Rapide à réaliser, beaucoup plus fin et gourmand qu’un gratin de pâtes traditionnel, essayez, vous allez l’adorer !
Après avoir réalisé mon pesto de persil cet été, il ne me restait plus qu’à l’utiliser, et la première utilisation à laquelle j’ai pensé, en grande fan d’Italie que je suis, c’est bien sûr dans les pâtes. Mon pesto tombait à pic pour préparer un plat de pâtes minutes à mes enfants affamés après 6 h passés dans les embouteillages avec leurs grands-parents pour rentrer à la maison. C’est donc sur les coups de 15 h que nous avons dégusté ces pâtes simples, rapides et délicieuses.
La saison des courgettes dure de plus en plus longtemps sur les étals et on n’a jamais assez de recettes pour les cuisiner et varier les plaisirs. Voici une nouvelle idée de recette « subterfuge » ou comment dissimuler les courgettes aux yeux des plus récalcitrants ! Un gratin fondant et savoureux parfait pour un repas du soir ou en accompagnement d’une viande.
Il y a des recettes que vous réalisez sans attendre et ce gratin de pommes de terre en fait partie ! Sitôt vue, sitôt dégustée ! J’avais pratiquement tout en stock, il n’y avait plus qu’à passer derrière les fourneaux et à se régaler ! Ce « gattò di patate » est une recette traditionnelle napolitaine, et même francisée par mes petites adaptations qui s’éloignent un peu de la recette originale, nous nous sommes régalés avec ce plat à mi-chemin entre le gratin et le soufflé qui se coupe comme un gâteau et dégouline de fromage !
Cela fait des semaines, voire des mois, que je cherche des conchiglioni pour réaliser un gratin de ces grosses pâtes farcies qui me font tant envie… mais apparemment, tous les supermarchés qui m’entourent n’ont pas éprouvé le besoin de les référencer ! J’ai donc enfilé ma tenue de Mac Gyver et j’ai tenté de les fabriquer moi-même ! Alors, je n’oserais pas appeler ça des conchiglioni… je suis persévérante (voire têtue…) mais il faut savoir reconnaître ses limites, et ici, c’est de ne pas être une filière à pâtes industrielles ! J’aurais beau faire ce que je veux, je n’arriverai pas à reproduire exactement la forme si particulière des conchiglioni… et pourtant, croyez-moi, j’ai cherché ! Je suis néanmoins arrivée à faire des pâtes maison qui finalement sont parfaites pour être farcies et font très bien l’affaire ! J’ai enfin obtenu le gratin dont je rêvais, un régal avec des pâtes fraîches !
Je n’ai pas deux sous de fluide avec les plantes, ce n’est plus un scoop, mais mon père si ! Alors lorsque je me suis retrouvée avec les tomates goûteuses de son jardin dans mon panier, qui n’ont vraiment rien à voir avec celles du commerce, une petite recette les mettant à l’honneur s’imposait ! J’adore les crumbles sucrés, mais depuis que j’ai testé le gratin de fenouil façon crumble d’Ottolenghi, je suis devenue fan de la version salée. La compotée de tomates est tellement bonne que j’ai eu bien du mal à ne pas tout manger avant de la mettre dans le plat ! Et je peux vous dire qu’il n’en restait plus un gramme dans la poêle, pas besoin de lave-vaisselle !
Mamou & Co 
